

The unique Blended Whisky - 70 cl / 150 cl
Un blend d’apéritif artisanal, résolument premium, issu de différentes céréales dit whisky grain qui est délicatement vieilli quatre ans en fût de chêne.
D’une belle couleur opaline, le nez offre un bouquet iodé avec un soupçon d’amande typique de l’orge. Le nez est délicieusement vanillé et de sublimes notes d’amandes, de fleurs séchées et de fruits blancs bien mûrs. La bouche rappelle avec gourmandise les effluves découvertes au nez avec du caractère et une belle rondeur finale franche.
Un magnifique whisky artisanal pour l’apéritif.
Existe en magnum 150 cl pour ne pas en perdre une goutte et pour un cadeau original !
A déguster à l’apéritif idéalement frappé.
L’histoire commence en 1951... :
Souvent surnommé le Dernier des Mohicans, Michel Couvreur représente la marginalité́ obstinée de la Tradition dans les vins comme dans les alcools. Des vins aux whiskies il n’y avait qu’un pas...
Michel Couvreur est parmi les toutes dernières maison artisanale à choisir elle-même ses « butts » de sherry en Andalousie : la prodigieuse réputation des whiskies écossais est due à leur mûrissement dans les fûts d’Oloroso d’origine « ayant reçu qu'un seul vin », les meilleurs ayant été imprégnés pendant des décennies par ce cru si puissant et mystérieux.
D’où̀ la situation géographique des caves de Michel COUVREUR en Bourgogne à mi-chemin des deux sources : l’Ecosse et l’Andalousie...
Ses Whisky sont distribués en France uniquement par un réseau de distributeurs officiels, sa publicité́ se basant sur la qualité́ de chaque bouteille. La réalisation de chacune d’elle nécessite un soin tout particulier – bouchage, cirage et étiquetage manuels – reflétant la dévotion au travail.
Deux modes de distillation partagent les whisky Michel COUVREUR en catégories très différentes :
• La distillation charentaise dite "pot still" ou double (voire triple) distillation, qui permet d’écarter les parfums indésirables
• La distillation continue dite "Coffey still" (un ingénieur irlandais Aenas Coffey la mit au point en 1830) donnant un produit plus commun car moins bien dépouillé́ des impuretés aromatiques.
Les whiskies dits "de malt" (le malt est le nom donné à l'orge germée permettant l’apparition de maltose, sucre fermentescible) ne s'obtiennent que par "pot still".
Une norme essentielle de la distillation consiste à ne pas extraire un alcool trop pur : passé un maximum de 70% d'alcool pur par volume le goût original de la céréale disparait (les meilleurs whiskies se distillent aux environ de 64/65% d'alcool pur) et c'est le goût de la céréale originelle, l'orge qui reste la céréale reine des grands crus du fait de ses effluves d'amandes.
C'est après la distillation que se réalise l'intervention proprement artisanale, et l'importance de l'élevage en fûts de bois est telle qu'il ne s'agit pas d'un simple mûrissement à l'instar des Cognac, Calvados, etc.
L'âme du whisky c'est le fût.
Reste encore à déterminer la typicité́ du chêne en cause, laquelle passe au second plan si le fût a longuement contenu d'autres produits alcooliques. Dans ce dernier cas la durée de cette imprégnation reflètera de plus en plus intensément les parfums dont le fût est déjà̀ investi.
En ceci les whiskies américains diffèrent profondément des whiskies écossais et irlandais traditionnels car la loi américaine exige l'usage de fûts neufs alors que, faute de production indigène de futaille en chêne, la tradition écossaise et irlandaise n'emploie que des fûts usagés déjà̀ imprégnés de parfums de vins ou de spiritueux.
En Ecosse et Irlande les fûts de vieillissement furent naturellement ceux qui avaient amené́ les vins favoris des insulaires : Xérès d'Andalousie (sherry), Porto, Madère. Les fûts de "sherry" jouèrent un rôle proprement miraculeux car les parfums très spécifiques résultant de leur vinification particulière (identique à celle des célèbres Vins Jaunes du Jura) se fondent admirablement avec ceux de l'orge. "Scotch" et "whiskey" irlandais leur doivent leur succès mondial.
Tel est donc l’un des secrets de Michel COUVREUR, un élevage premium dans des fûts rigoureusement sélectionnés directement dans les Bodegas.
L’âge qui est indiqué sur une bouteille de whisky correspond au temps de vieillissement du whisky le plus jeune. En d’autres termes, un whisky comprenant des eaux-de-vie ayant vieilli entre 12 et 20 ans aura la mention 12 ans.
Bon à savoir : un whisky doit avoir un vieillissement d’au moins 3 ans pour pouvoir s’appeler whisky, on l’appelle dans ce cas eau de vie de céréale.
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Fiche technique